Maison.

1883
Première démonstration du poêle électrique

En 1882, avec son associé W.Y. Soper, il monte une affaire dans le secteur de l'électricité. Cette dernière, qui procure à Ottawa de l'électricité ainsi que des tramways et des éclairages de rue, prend de l'expansion.Tout au long des années 1880 et 1890, Ahearn propose aux Canadiens de multiples appareils électriques.

Poêle de Ahearn
En 1892, il prépare à l'hôtel Windsor, à Ottawa, le premier repas entièrement cuit à l'électricité. L'excellence de sa démonstration lui vaut la première médaille d'or décernée par la Central Canadian Exhibitions Association.
Le premier tramway chauffé à l'électricité est mis en circulation à Ottawa dans les années 1890.
http://www.collectionscanada.gc.ca/obj/001038/f1/nlc011362-v6.jpg

Merci Josie pour cette superbe maison dans laquelle je me plairais beaucoup!!!

1851
Isaac Singer obtient un brevet d'invention pour la machine à coudre

http://www.pbs.org/wgbh/theymadeamerica/whomade/singer_hi.html

Isaac Singer obtient un brevet d'invention pour la première machine à coudre domestique à pédalier double.
Il construira une usine à Boston pour commencer la production de sa machine. Patent #8294
Il remportera le premier prix à l'Exposition universelle de Paris en 1855.

http://www.mannetjes.com/archives/archive_2006-m08.php

La généralisation de la machine à coudre bouleversera la façon de s'habiller en rendant possible le développement du prêt-à-porter au détriment du sur-mesure.

« C’est d’une organisation délicate de déséquilibres que l’équilibre tire son charme. Un visage parfait le
démontre lorsqu’on le dédouble et qu’on le reforme de ses deux côtés gauches. Il devient grotesque. Les
architectes le savaient jadis et l’on constate, en Grèce, à Versailles, à Venise, à Amsterdam, de quelles
lignes asymétriques est faite la beauté de leurs édifices. Le fil à plomb tue cette beauté presque humaine.
On connaît la platitude, l’ennui mortel de nos immeubles où l’homme se renonce. »

( J.COCTEAU: La difficulté d'être.)

Les maisons ne vont pas plus loin que le détour. Là, elles disent " au revoir " et elles restent assises au bords des prés; elles regardent la route qui part vers le large des terres.

( J.GIONO: Regain.)

Elle était ample, neuve, trois étages, un grenier, une cave. Elle avait un grand toit pointu couvert de tuiles rouges, des murs blancs, des volets de bois peints en vert vif, une allure fraîche et gaie, et faisait une tache vive au coeur des arbres qui avaient poussé facilement sur un terrain fertile, profond et humide. Mon père avait exigé qu'elle ressemblât aux maisons du Pays Basque où il avait aimé passer, autrefois, ses vacances et l'avait baptisée du nom du coteau: Haut-Soleil, mais nous disions " la Villa".

( P.LABRO: Le petit garçon.)

Jolies maisons qui, même recouvertes d'ardoises, gardent encore la haute pente ennoblissante du toit, leur immense capuchon pour les pluies d'hiver.

( J.DE LA VARENDE: Pays d'Ouche.)

...Dans la maison maternelle, l'atmosphère n'était plus la même; la gaîté du monde, fille du soleil, s'arrêtait sur ce seuil comme une personne interdite.

( RENE JOUGLET: L'enfant abandonné.)

Naître, vivre et mourir dans la même maison. ( Maison natale rue de la Demoiselle)

(SAINTE-BEUVE: Les Consolations.)Pour Bonpa